11 janvier 2005
Main tendue...vers quoi ?
De la moiteur saharienne de son corps en émoi,
De cette danse suave et de ce regard de braise,
Il ne reste rien.
Elle ne s'offrait jamais, mais dansait sur un fil.
En étouffant parfois de sa main un sanglot,
Presque gênée d'avoir tant donné ou peut-être,
d'avoir tant aimé...
De cette danse suave et de ce regard de braise,
Il ne reste rien.
Elle ne s'offrait jamais, mais dansait sur un fil.
En étouffant parfois de sa main un sanglot,
Presque gênée d'avoir tant donné ou peut-être,
d'avoir tant aimé...
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